Récit
Viols sur mineurs : «Un enfant ne peut pas consentir, point barre»
Article réservé aux abonnés
En 2018, la majorité renonçait à mettre en place un âge de non-consentement dans la loi renforçant la lutte contre les violences sexistes et sexuelles. Juristes et associations dénoncent un texte aux contours juridiquement flous, qui a compliqué les choses. La députée Alexandra Louis présente ce vendredi les conclusions de sa mission d’évaluation.