Un institut d'études et de conseil en management et relations
humaines, Entreprise et Personnel, a répertorié sur le terrain six comportements différents de patrons, individuellement ou par le biais de leurs organisations professionnelles. Cette classification est avant tout empirique, les données chiffrées étant encore trop aléatoires et restreintes pour en tirer des conclusions définitives.
1. Les rétifs Ils veulent limiter les «dégâts» de la loi Aubry. Ils se retrouvent surtout dans les branches professionnelles. L'objectif est de restreindre au maximum l'impact des 35 heures en redéfinissant le temps de travail, en élargissant le forfait ou en jouant sur la formation. L'accord dans la métallurgie en est le parfait exemple: grâce à l'augmentation du volume d'heures supplémentaires, les salariés pourront travailler 39 heures par semaine.Un institut d'études et de conseil en management et relations humaines, Entreprise et Personnel, a répertorié sur le terrain six comportements différents de patrons, individuellement ou par le biais de leurs organisations professionnelles. Cette classification est avant tout empirique, les données chiffrées étant encore trop aléatoires et restreintes pour en tirer des conclusions définitives. 2. Les «attentistes prudents»
Ils se contenteront d'une mise à conformité juridique minimale de la loi d'ici l'an 2000. Ces entreprises ne cherchent pas à bénéficier des aides de l'Etat. Leur but est de respecter la législation, pas de créer des emplois.