L'Internet bientôt à la portée de (presque) toutes les bourses?
Après la vogue des offres de connexion à l'Internet sans abonnement, voici le coup de balai sur les tarifs des communications locales. Coup sur coup, deux fournisseurs d'Internet viennent de réviser substantiellement le prix de la minute de surf, poste aujourd'hui le plus dispendieux pour l'internaute.
D'abord Club-Internet. Pour casser ses prix, le fournisseur s'est allié aux opérateurs téléphoniques Kertel et MCI WorldCom. Il propose deux formules. La première cible l'internaute occasionnel. Elle copie l'offre Wanadoo Illico proposée par France Télécom, mais en cassant les prix. Le surf ne coûte plus que 22 centimes par minute, en heures pleines comme en heures creuses, contre 45 centimes pour Wanadoo Illico.
Les plus assidus opteront pour le forfait «transparence». Il bat, lui aussi, haut la main l'offre équivalente chez l'opérateur public. Pour 97 francs TTC, le surfeur s'offre 20 heures de navigation sans se soucier de l'heure d'appel. Au lever du jour, à midi ou encore à l'heure du thé, son forfait est toujours valable. En comparaison, le forfait 100 francs/20 heures de France Télécom ne fonctionne qu'à partir de 18 heures le soir, le mercredi après-midi et le week-end. Dans la foulée, Club-Internet a supprimé l'abonnement, soit une économie de 77 francs par mois. A comparer aux 75 francs que facture Wanadoo à son abonné.
Maléable. L'avant-veille, None Networks, qui commercialise Freesbee, avait écrasé ses pri