Promesse. C'est sur ce mot que repose toute la communication de Sony, et d'une certaine manière, le succès de la PS2. Promesse de lendemains qui chantent avec des univers incroyablement réalistes et des audaces visuelles à la pelle. Promesse d'utiliser à plein les ressources du DVD et de l'Internet à haut débit. Aujourd'hui, on peut déjà regarder des films en DVD. Demain, c'est-à-dire fin 2001, on pourra connecter l'engin à un appareil photo ou à un caméscope numérique, stocker ses propres images sur un disque dur, brancher son portable ou un modem et jouer en ligne, ou encore télécharger de nouveaux personnages et des scénarios inédits.
Seconde manette. On n'en est pas encore là. Les premiers acheteurs de cette promesse à 2 990 F devront être patients. Et, avant tout, acheter une seconde manette (199 F) et une indispensable carte mémoire (299 F). Surtout, ils devront attendre que les développeurs de jeux prennent toute la mesure de cette machine au potentiel impressionnant. Quelques mois, voire un an, pour que les 300 jeux en préparation emmènent les joueurs vers des horizons inconnus. Pour l'instant, on sait que la PS2 lit les quelque 800 jeux PlayStation première génération. Mais la toute première promesse tenue, c'est qu'une trentaine de jeux PS2 seront disponibles avant la fin de l'année. Si le chiffre est honorable, aucune surprise n'est au programme: il faut déjà satisfaire les attentes des vrais mordus avec des jeux qui ont fait leurs preuves.
Classiques. Le football s