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Libération

Dans la marmite du Grenelle

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publié le 5 septembre 2007 à 9h31

Tandem d'amour

Si le Grenelle marche comme sur des roulettes, c'est aussi parce que le tandem Kosciusko-Morizet/Borloo fonctionne à merveille. «Elle est la tête, je suis les jambes», ironisait-il en juillet dans le sud de la France.

Courtoisie

Dans la série «je me la pète» : Nicolas Stern, le président du groupe 1, le plus médiatique de tous (énergie et lutte contre les changements climatiques). Le matin, il s'est contenté d'une courte visite de courtoisie en égrenant les objectifs de réductions d'émissions de CO2. Et l'après-midi, il a plaqué son monde lors de la plénière du groupe. Cet économiste de haut vol serait inaccessible depuis son rapport détonnant, début 2007, sur les coûts du réchauffement. Et il refuse de rencontrer le moindre journaliste.

Ouverture tous azimuts

L'ouverture, chère à Sarkozy, se diffusera-t-elle dans le Grenelle ? Bettina Laville, ex-conseillère «développement durable» de Jospin et Strauss-Khan, serait pressentie pour animer le débat national consacré au Grenelle. Elle est à l'origine des Comités 21, siège au Conseil d'Etat et préside l'association pour un Mouvement vraiment durable.

NKM à l'aide de FNE ?

La secrétaire d'Etat à l'Ecologie, Nathalie Kosciusko-Morizet, assistera le 15 septembre à l'Assemblée générale de France Nature Environnement (FNE). Celle-ci regroupe 3 000 associations en France mais souffre d'un manque criant de visibilité face aux mastodontes de la com que sont Greenpeace et le WWF.

Les routiers trop sympas ?

L'idée de