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Libération
Droit de réponse

Droit de réponse : Conseil général du Loiret

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publié le 18 avril 2008 à 3h09

Dans un article intitulé «Des maltraitances dénoncées au Conseil général du Loiret», Libération a relaté des faits erronés. Mis sous le vocable de «maltraitances», ils proviennent soit de propos d'une responsable syndicale, soit de l'auteur de l'article lui-même. Le Conseil général dénonce ces propos diffamatoires faisant atteinte à son honneur, à celui de ses élus et à celui de l'ensemble de son personnel. Certaines organisations syndicales tentent de faire passer l'idée que des actes s'apparentant à de la maltraitance ont lieu au sein de l'administration départementale. A plusieurs reprises, et compte tenu de la gravité de ces faits, s'ils étaient avérés, la CFDT a été invitée au dialogue. Il a été demandé - au titre du devoir d'alerte - d'exposer les situations dont elle aurait éventuellement eu à connaître afin que l'attention nécessaire soit portée à la résolution de ces situations. Les responsables de la CFDT n'ont pas donné suite et préféré alimenter une rumeur. Dans le cadre d'un appel à la grève national portant un ensemble de revendications, ce sujet a été remis dans l'actualité non sans arrière-pensée politique. Pour preuve, les propos qui auraient été tenus à Libération à l'égard des Conseillers généraux socialistes qui, «ayant été alertés, n'auraient donné suite par crainte de perdre les subventions de leur canton par le Département». Ces derniers lors de la session du 4 mars à l'Hôtel du Département ont démenti unanimement et solenne