Le démenti est on ne peut plus clair. Mais il ne dissipe pas tous les doutes. Le groupe automobile italien Fiat a assuré aujourd'hui qu'«il n'(allait) pas soumettre à l'examen du conseil d'administration d'opération de fusion avec d'autres entreprises du secteur automobile». Sans citer toutefois le nom de PSA.
Le groupe italien précise toutefois qu'il «examine, dans le cadre de l'évolution normale de la gestion, toute opportunité d'accords (...) afin d'obtenir des synergies productives et accéder à de nouveaux marchés».
Dans son édition de ce jour, le quotidien Il Sole 24 Ore affirme qu'«un plan de fusion avec PSA Peugeot Citroën aurait déjà été ébauché avec l'assistance de Mediobanca et d'un consultant en stratégie» et que Sergio Marchionne, le patron de Fiat, «serait en train d'évaluer si et quand il pourrait le présenter au conseil d'administration».
L'hypothèse d'un tel mariage avait déjà été évoquée ces derniers mois par la presse italienne. Les deux groupes sont déjà alliés et produisent ensemble des monospaces et utilitaires légers dans le nord de la France.
Contacté par l'AFP, un porte-parole de