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Droit de réponse

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publié le 6 novembre 2009 à 0h00

Libération a publié le 27 octobre 2009, sous le titre «Sous Lahoud, on trouve du Pérol», un article qui comporte des allégations fausses et des insinuations graves sur des comportements qu'auraient eus, dans l'exercice de leurs fonctions, M. François Pérol, président du directoire de BPCE, et Mme Nathalie Gay-Guggenheim, sa compagne. Ces derniers n'ont pu contredire ces allégations car l'auteur de l'article, M. Renaud Lecadre, n'a pas pris le soin de les interroger. En conséquence, Mme Gay-Guggenheim et M. Pérol vous prient de bien vouloir insérer, en application de l'article 13 de la loi du 29 juillet 1881, dans les trois jours de sa réception, le droit de réponse suivant : «1) Il est faux de prétendre qu'un ex-collaborateur du groupe BPCE aurait été révoqué par M. Pérol, président du directoire du groupe, «sur pression exercée par Imad Lahoud» : Cet ex-collaborateur, M. Nathanaël Majster, a été révoqué de ses fonctions de directeur général de GCE Maroc Immobilier (société de promotion immobilière implantée au Maroc, sous-filiale de BPCE) par le conseil d'administration de la société, il est en effet apparu, que M. Majster a commis des manquements graves dans l'exercice de ses fonctions. Ces faits ont été révélés après que M. Majster a refusé l'accès à la documentation de la société à une mission de suivi diligentée dans le cadre de ses responsabilités par M. Yvan de La Porte du Theil, membre du directoire de BPCE, en charge de la supervision des affaires