Un préfet refuse qu'une société ayant licencié recrute à l'étranger

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L'usine d'Autoliv-Isodelta, groupe suédois qui produit des volants, voulait faire venir une trentaine d'ouvriers tunisiens sur son site de la Vienne. Hors de question, dit le représentant de l'Etat. Motif: l'an passé, l'entreprise avait licencié une centaine d'employés.
publié le 12 janvier 2010 à 17h55
(mis à jour le 12 janvier 2010 à 17h57)

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