Menu
Libération
Heure par heure

L'hypothèse d'une faillite de la Grèce affole les marchés boursiers

Article réservé aux abonnés
Un trader à Paris le 18 août 2011. (© AFP Eric Piermont)
par
publié le 12 septembre 2011 à 9h27
(mis à jour le 12 septembre 2011 à 17h13)

L'Essentiel:

Les bourses européennes chutent à nouveau.
Besson écarte une nationalisation même partielle des banques françaises.
L'Allemagne veut que la Grèce reste membre de la zone euro mais n'exclut pas sa faillite.

17h30. Europe. La Bourse de Paris a poursuivi sa dégringolade lundi, terminant sur une chute de 4,03%. Le Dax allemand finit à moins 2,27%, Madrid à moins 3,41%, Milan à moins 3,89%.

17 heures. New York. Wall Street évoluait à l'équilibre lundi matin, résistant tant bien que mal à la dégringolade des Bourses européennes où les valeurs bancaires chutent sur fond de craintes de défaut de paiement de la Grèce: le Dow Jones perdait 0,49% et le Nasdaq grignotait 0,09%.

15h45. France/Europe. La France n'exclut pas le recours à l'avenir à des euro-obligations, cette mutualisation des dettes européennes qui selon des analystes endiguerait la crise, mais cela doit être un "point d'arrivée" du renforcement de la zone euro, a déclaré lundi le ministre des Finances.

Selon François Baroin, les eurobonds ne sont pas "la pierre philosophale". "Ca peut être un point d'arrivée, pas un point de départ", a-t-il ajouté lors d'un colloque à Paris sur "La croissance de demain". "Ca doit être un point d'arrivée, la mutualisation des dettes souveraines", a-t-il répété. Le ministre a estimé que le "point de départ" devait être "d'atteindre les objectifs intangibles en matière de réduction des déficits publics".

15h30. New York. La Bourse de New York ouvre en baisse: Dow Jone