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Libération
Récit de la journée de jeudi

Sarkozy: «Quand nous fixons une règle, elle doit être respectée»

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Jeudi soir, au terme de la première journée du G20, Nicolas Sarkozy s'est montré très sévère envers Athènes insistant sur la «totale unité de vue» franco-allemande.
Le Premier ministre grec Georges Papandréou en conférence de presse à Cannes, le 2 novembre 2011 (AFP Eric Feferberg)
publié le 3 novembre 2011 à 6h56
(mis à jour le 3 novembre 2011 à 20h26)

L'essentiel

• La première journée du G20 s'est déroulée ce jeudi à Cannes dans un contexte tendu et un peu particulier, dominé par la situation en Grèce.

• Face à la pression de ses partenaires européens et le désavœu d'une partie de ses ministres, le Premier ministre grec Georges Papandréou a déclaré qu'il était prêt à retirer son projet de référendum. Il a assuré que l'enjeu pour la Grèce était de «mettre en œuvre» le plan anti-crise européen du 27 octobre. Le pays reste ce jeudi soir plongé dans une crise politique. > Plus de détails ici.

Nicolas Sarkozy et Angela Merkel se sont montrés sévères répétant que la Grèce serait jugée sur ses actes.
> Les déclarations de Sarkozy ici et de Merkel ici.

• La sortie possible de la Grèce de la zone euro n'est toujours pas à exclure ce jeudi soir, une option compliquée politiquement et juridiquement.
> A lire:
«La sortie de la Grèce de l'euro, un casse-tête juridique»

• Surprise de la journée: contre tou