Avril 2010 Avec un endettement de 350 milliards d'euros, la Grèce sollicite une aide internationale.
Mai 2010 La zone euro et le FMI lui accordent 110 milliards.
Juin 2011 Adoption d'un plan d'austérité et de privatisations.
21 juillet Accord de la zone euro pour une participation des créanciers privés.
2 septembre La troïka (UE, FMI, BCE) dénonce le retard des réformes.
27 octobre La zone euro accepte l'idée d'une nouvelle aide de 130 milliards.
15 février L'Eurogroupe repousse son feu vert au deuxième prêt en demandant plus de garanties à Athènes.
«Il y a de l'optimisme dans la mesure où tout ce qu'on nous a réclamé a été fait et approuvé par la troïka [UE-BCE-FMI].» Pantelis Kapsis porte-parole du gouvernement grec, samedi
«Je compatis avec les citoyens grecs. La très grande majorité de ceux touchés par les mesures d'austérité ne sont pour rien dans la lenteur des réformes.» Wolfgang Schäubleministre des Finances allemand, hier
100
milliards d'euros d'annulation de dette publique c'est ce dont a bénéficié la Grèce, soit la moitié des créances détenues par le secteur privé. Le restant s'élève à 250 milliards.
«Je souhaite que les Grecs se concentrent sur la reconstruction de leur Etat plutôt que d'accuser des boucs émissaires étrangers d'être responsables de leurs maux.» Viviane Reding vice-président