2014 : année de l'arrêt total de l'activité à l'usine d'Aulnay-sous-Bois, qui emploi 3000 salariés et 300 intérimaires. 1500 d'entre eux devraient se voir proposer un poste à l'intérieur du groupe, essentiellement sur le site voisin de Poissy; les autres se verront proposer un reclassement externe sur le bassin d'emploi.
1 400 : nombre de suppressions de postes à l'usine PSA de Rennes, sur un total de 5600. Le site breton est l'autre grande victime du plan social annoncé par le groupe. Il devrait néanmoins se voir confier la production d'un nouveau modèle à partir de 2016, a promis PSA.
8 000 : le nombre total de suppressions de postes dans le groupe. En prenant en compte les reclassements internes, il n'est que de 6500. Mais les conséquences pourraient être plus lourdes si l'on inclut une probable réduction de voilure en matière d'intérim.
6 : le nombre d'usines PSA encore en service sur le territoire national. Soit, outre Aulnay, le site historique de Sochaux (ouvert en 1912, 12 000 salariés), Poissy (1938, 7000 salariés), Rennes (1960, 5800 salariés), Mulhouse (1961, 8250 salariés) et Sevelnord, près de Valenciennes (1988, 2800 salariés).
700 millions : c'est, en euros et en négatif, la perte attendue pour le résultat opérationnel courant de PSA au premier trimestre 2012. Le président du directoire de PSA, Ph