Suite à l'article de Renaud Lecadre paru dans Libération du 6 octobre et intitulé «La justice des balances», la société Solvadis France nous fait cette précision :
«Il est fait état par Monsieur. R. Lecadre en son article de très nombreux faits et chiffres totalement faux, qui souvent portent préjudice à Solvadis et à son dirigeant :
Exemples :
- Le cartel est composé par «… les trois membres», alors qu’il en comporte plus encore (cf. décision publiée N° 13-D-12 par l’ADLC);
- Les ententes frauduleuses dont le leader de marché est le «pivot» reconnu se terminent non en 2005, mais, de son propre aveu, courant 2007 par une nouvelle affaire d’entente frauduleuse ;
- Au grand jamais Solvadis n'a été «… revendu à des Allemands en février 2006…», son fonds de commerce seul ayant pu être cédé à un investisseur Néerlandais, le groupe Eurochem.
- M. Prouteau ne revendique aucunement «… depuis 2006 un rôle de conseil de Solvadis», puisqu'à ce jour il en est le mandataire social depuis sept années consécutives ;
- Jamais Solvadis n'a «encaissé un rendement sur fonds propres de 48%…» «pendant la période des ententes…», comme il est faussement et globalement affirmé, ce chiffre étant le fait de la seule société leader du marché, et Solvadis n'ayant exclusivement accusé que des pertes croissantes pendant l'activité du cartel.
Le démantèlement du «Cartel de la chimie» sert l’intérêt public, en tout premier lieu celui de milliers d’entreprises clientes,