euros, c'est le montant de l'impôt sur les bénéfices payés l'an dernier en France par Facebook. Et pourtant, lesdits bénéfices s'élevaient à 105 millions d'euros, selon les estimations de BFM Business. La facture fiscale aurait théoriquement dû s'élever à 35 millions. Comment la firme de Mark Zuckerberg a-t-elle réussi à diviser son impôt par plus de 100 ? Grâce à un montage financier qui lui permet de ne déclarer en France qu'une infime fraction de ses revenus réels (12,9 millions sur plus de 260 millions). La manœuvre est dans le collimateur du fisc, qui a lancé un contrôle de la filiale française de Facebook.