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Libération
A la télé ce soir

«Le grand mystère des mathématiques» : diviser pour régner

Heureusement il y a ce documentaire d’Arte.
(Photo DR)
publié le 14 janvier 2016 à 17h11

Les maths, c’est quand même un paquet de mauvais souvenirs d’école pour beaucoup d’entre nous. A savoir:

- des équations à deux inconnues de trop,

- d’improbables probabilités,

- un Pythagore qui nous rappelle plus une déesse sanglante qu’un théorème imbitable,

- un Thalès qui nous enivre plus qu’un trajet en train à Amsterdam,

- la peur d’être appelé au tableau par monsieur Faussat redouté pour sa sévérité exponentielle,

- l’impression d’être la poire de Newton…

Heureusement il y a ce documentaire d’Arte pour nous rappeler plusieurs choses essentielles :

- sans maths nous n’aurions pas posé Curiosity sur Mars,

- la beauté des chiffres est partout y compris dans les pétales de fleurs dont le nombre semble suivre la suite de Fibonacci,

- tout ou presque peut se mettre en équation, - on peut voir les maths dans toute l'architecture de notre monde… et se prendre pour Neo dans Matrix. Et là c'est la classe.