Absent lors de l'assemblée générale des actionnaires d'Ubisoft, le milliardaire breton qui préside Vivendi n'a pas tenté de putsch. Il a seulement fait savoir que Vivendi, «dans la perspective d'un actionnariat à long terme» dans Ubisoft, bénéficiera «d'un droit de vote double à partir de 2017». Du côté des fondateurs de cette société éditrice de jeux vidéo, c'est le soulagement. «Nous sommes très heureux du résultat des votes qui montrent que nos actionnaires nous ont bien soutenus», s'est réjoui le PDG, Yves Guillemot, qui se bat depuis des mois pour que Bolloré n'obtienne pas de siège au conseil d'administration.
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