C'est la part détenue par Vivendi dans le capital d'Ubisoft. Un petit pour cent en plus depuis la précédente annonce, il y a un mois, mais la barre est symbolique. Vivendi exclut (pour combien de temps encore ?) la possibilité d'une OPA. Mais la barre des 30 % se rapproche, et l'offre publique d'achat deviendra alors obligatoire. Du côté de l'éditeur de jeux vidéo, forcément, on n'a pas sorti les cotillons. Dans une déclaration transmise à l'agence Reuters, l'entreprise considère qu'il s'agit là d'une «nouvelle indication, s'il était besoin, que Vivendi et Vincent Bolloré poursuivent dans leur approche destructrice de valeur, visant à une prise de contrôle rampante de sociétés telles qu'Ubisoft».
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