Il ne fait pas bon respirer l’air souterrain de Paris. Le taux de particules fines, qui proviennent notamment du freinage ou des frictions entre les roues et les rails, est en effet jusqu’à dix fois supérieur dans les tunnels des transports en commun d’Ile-de-France qu’à l’air libre. Y sont exposés une part des 28 000 salariés de la RATP et de la SNCF, et les 8 000 travailleurs assurant la maintenance du réseau. Ceux-ci réclament une baisse des seuils d’exposition autorisés. Photo AFP
Plus de pollution dans le métro parisien qu’à l’extérieur
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publié le 18 septembre 2017 à 20h06
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