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Libération

Un peu de piano

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publié le 19 décembre 2005 à 5h02

Déjà les premiers départs, avant même Noël, «et nombre de destinations comme les Maldives qui affichent complet», notait Rémi, retrouvé par hasard à Milan, avec qui on évoquait le réveillon 2002 à l'Amanpuri. Il restait néanmoins quelques dîners en ville. Luziah Hennessy recevait chez elle, en l'honneur de Valery Gergiev et Jean-Pierre Brossman. Michel Haddi invitait au Martel des personnalités de la mode, pour célébrer la sortie de son livre de portraits choc ­ de Bowie à Kate Moss ­ intitulé I Love America, Don't You ?. Marisa Berenson raffolait de la pastilla et Marc se plaignait : «C'est à vomir, les fêtes de fin d'année, ces paniques de fin du monde, ces gens qui achètent des cadeaux aux gens qu'ils détestent à côté d'eux et qui s'apprêtent à bouffer des cirrhoses d'oie. Paris, c'est devenu la Croatie.» Michel dédicaçait ensuite son livre, et on oubliait la fête du magazine Trax au Paris Paris, dont Alexis Bernier nous dirait le lendemain qu'elle dura longtemps et fut honorée de la présence d'Alain Chamfort, Damon Albarn, The Dead 60's, Kill The Young et surtout James Murphy aux platines. André était encore à Bangkok où il organisait une fête et, en fin de semaine, Emmanuel S. passait au Basement Bar faire écouter les dernières prises de son album à paraître en 2006. L'air s'était radouci et il enfilait les vodkas à mesure que se joignaient de nouveaux arrivants, dont Jennifer Eymère et James Rousseau, Philippe Combres et Mohini, Guillaume Terrasson et Alex Geindre, qui