Je suis bien content de ne pas être supporteur de l’Olympique de Marseille. L’éjection express d’Adrien Rabiot m’aurait peiné tant elle est la preuve de la versatilité et du mercantilisme de la direction du club. La tête de gondole olympienne n’a pas été transférée au Milan AC suite à un bourre-pif de vestiaire. Ce genre d’algarade survient fréquemment quand chauffent les reproches d’après match. Les irascibles à sang chaud passent vite à autre chose tant le rythme frénétique du foot est un laminoir à ressentiments. Rabiot a été lourdé car il peinait à accepter un nouveau contrat et risquait de partir libre et de priver l’OM d’un retour sur investissement.
Vous remarquerez que ce premier paragraphe est truffé de termes économiques et financiers. Car le foot 2025 est devenu <