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«Marie, récit d’une GPA», l’histoire d’un amour et de «bonnes fées»

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LGBT +dossier
Une gestation pour autrui n’est pas forcément synonyme d’exploitation du corps féminin, elle peut être aussi affaire de don et de compassion. La BD de Théa Rojzman et Marie Jaffredo retrace le parcours de deux hommes qui s’aiment et souhaitent avoir un enfant.
Extrait de «Marie, récit d’une GPA» de Marie Jaffredo et Théa Rojzman. (Glénat)
publié le 2 mai 2025 à 9h05

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Une naissance est-elle le fruit d’un hasard ou d’un désir ? Ou des deux à la fois ? François-Xavier et Thomas s’aiment et sont de cette génération de jeunes gays qui peuvent enfin s’autoriser à éprouver un désir d’enfant. Ils optent pour une gestation pour autrui (GPA) aux Etats-Unis, pays où la pratique est légalisée à la différence de la France. Les deux hommes sont animés d’un même souci : mener cette conception extraordinaire dans un cadre légal, au plus proche de l’éthique du don. Leur petite fille naîtra de cet incroyable apport d’amour et de compassion incarné par deux Américaines, Kelsey et Isabella. Leur histoire à 4 + 1 est relatée dans Marie, récit d’une GPA (édition Vents d’ouest), BD écrite par Théa Rojzman et dessinée par Marie Jaffredo.

Le dessin est doux et sensible, comme la volonté des deux futurs pères