Bon d’accord, admet le député Adrien Quatennens devant Bruce Toussaint sur BFM, il y a «ce geste». Cette gifle – unique – à son épouse. La gifle, il la reconnaît volontiers, il l’a reconnue aussitôt, très vite, pas de problème, d’ailleurs soit dit en passant il n’aurait peut-être pas dû, quand on voit comme on le remercie aujourd’hui de cette transparence. Mais c’est fait.
Bon d’accord, admet le dessinateur Bastien Vivès dans le Monde, il y a eu cette connerie, cette maladresse, de traiter sur Facebook sa consœur Emma, autrice d’albums dénonçant la charge mentale des femmes, d’«abrutie mongolienne», et d’appeler à «buter son gosse», et aussi (variante) «qu’un de ses gosses la poignarde et qu’il fasse une BD sur comment il l’a poignardée, et qu’il se fasse enculer à chaque like». D’ailleurs Vivès a très vite supprimé son compte Facebook : «Quand je suis allé revoir mes propos, dit-il à l’Obs, je les ai trouvés hyperviolents. Je me suis dit “qu’est-ce que j’étais con. Pourquoi j’ai dit ça ? J’écris vraiment de la merde !”. J’ai quitté Fac