En seulement 12 jours, l’offensive des rebelles syriens du HTS aura eu raison du régime de Bachar al-Assad, ce samedi 7 décembre au soir.
Depuis le 23 septembre 2024, l’armée israélienne bombarde le Liban (voisin de la Syrie) et les cibles du Hezbollah, faisant des milliers de morts, dont des civils.
Le 19 mai 2024, le président iranien Ebrahim Raïssi trouvait la mort dans le crash de son hélicoptère. Coco imaginait la réaction des autres « bouchers », notamment celui de Damas.
En septembre 2023, longtemps fidèle à Bachar al-Assad, la minorité druze s’est retournée contre lui. Pris au piège de l’image de «protecteur des minorités» qu’il s’est donné et privé de soutien économique, l’autocrate affaibli et isolé hésitait à réprimer la contestation.
Fin 2023, devant journalistes et Russes, Poutine récitait sa liturgie, trois mois avant une élection présidentielle qui était jouée d’avance.
En 2021, à l’occasion des 10 ans du conflit en Syrie, Libération s’était associé au projet photographique inédit réalisé par le Bureau des affaires humanitaires de l’ONU. Voir le diaporama