Si j’ai bien compris et quoiqu’il nous en coûte, c’est la fin du quoi qu’il en coûte. D’un autre côté, ça fait déjà un bon moment que c’est la fin du quoi qu’il en coûte, ce qui est d’autant plus dommage que ça coûte de plus en plus, avec l’inflation qui, elle, n’en finit pas. Après un bref coup de pouce, on est passé au coup de bambou. Ça ruisselle au compte-gouttes. C’est sans doute pour ça qu’il ne faut pas toucher aux superprofits, afin d’éviter un ruissellement inconsidéré qui, pour des raisons mystérieuses, ferait plus de mal que de bien en attentant à l’attractivité de la France. Voilà que sont prévus 10 milliards d’économies, ce qui a un aspect sympathique, parce qu’on ne pensait pas avoir encore assez de ressources cachées pour faire des économies de cette envergure. En même temps, généralement, quand on fait des économies, quand on épargne, c’est dans l’espoir d’en tirer bénéfice et que cet argent nous profite au moment des vaches maigres, ou pour se faire une petite gâterie hors budget.
Le principe de ces économies-là est qu’on n’en revoit