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Le 28 février, Volodymyr Zelensky, le président ukrainien, est reçu par Donald Trump et son fan-club, dans le Bureau ovale de la Maison Blanche. Le très courageux chef de guerre ukrainien est bizuté et subit de la part du nouveau président américain une séance de punching-ball humiliante et en direct, mais à laquelle il résiste, sans se démonter, sans craquer. Trump lui explique qu’il «n’a pas les cartes en main», il le traite comme un «dictateur» qui s’est lancé dans une guerre qu’il ne peut pas gagner, parce que son pays est trop petit pour affronter un géant nucléaire. Manifestement, Trump ne connaît pas le dossier et se comporte comme le meilleur avocat de son copain Vladimir Poutine. Il argumente en sa faveur tout en accablant Zelensky.
En avril, le pape François meurt. Trump ne l’aimait pas et c’était réciproque, mais il est contraint de faire le déplacement à Rome pour ses o