Vendredi 4 mars
Cinq questions de lecteurs et les réponses des journalistes, reporters et experts dans une vidéo «FAQ» sur l’invasion russe en Ukraine.
Jeudi 3 mars
Le chef de l’Etat est intervenu mercredi soir pour affirmer les choix de Paris dans le conflit et avertir qu’ils auraient aussi des conséquences sur l’économie française.
La préfecture de l’Oise a inauguré ce mercredi un centre d’accueil d’urgence à l’aéroport pour les ressortissants ukrainiens. Pour le moment, ils sont moins d’une centaine à avoir atterri en France.
Mercredi 2 mars
Six jours après le début de la guerre déclenchée par la Russie, de nombreux Ukrainiens tentent de fuir la capitale coûte que coûte. A la gare de Kyiv (Kiev), entre cris, bousculades et trains annulés, c’est le chaos.
Mardi 1er mars
La capitale ukrainienne se retranchait lundi, face à une possible offensive des forces russes. Dans la soirée, les bombardements ont semblé s’intensifier, laissant craindre le pire.
Lundi 28 février
Pour contrer un Poutine sans limites qui a brandi la menace nucléaire, l’Union a promis de fournir des armes à Kiev. Une décision historique pour les Européens.
Vendredi 25 février
Pour combien de temps, nul le sait, mais l’histoire retiendra que le 24 février 2022, le «monde libre» a perdu − autant qu’abandonné − l’un de ses membres, pilonné d’est en ouest, du nord au sud et en son cœur, Kiev, par les missiles d’un Vladimir Poutine prisonnier de ses délires paranoïaques. L’Ukraine, nation indépendante de 44 millions d’habitants, frontalière de quatre pays membres de l’Union européenne et l’Otan, a vu se concrétiser le scénario du pire : une invasion totale, aérienne et terrestre, ordonnée par le maître du Kremlin que rien n’aura dissuadé d’écraser son voisin. En même temps que les miettes d’une architecture internationale de sécurité obsolète.