Si j’ai bien compris, le chancelier Merz a agacé en prétendant que les Israéliens avaient fait «le sale boulot» en bombardant le nucléaire iranien, signifiant que les Européens n’avaient même pas à s’en laver les mains puisqu’elles étaient restées propres. Où va-t-on si les politiciens disent maintenant ce qu’ils pensent ? On va pouvoir dégraisser allègrement à la Trump le mammouth diplomatique. Mais bon les Allemands en ont fait un si répugnant, de boulot, qu’on comprend qu’ils se satisfassent que d’autres mettent la main à la sale pâte, même si c’est heureusement incomparable.
Dans ce genre d’affaires, il faut en outre faire attention à l’article, défini ou indéfini. Parce que le sale boulot, d’accord si on en retire des bénéfices. Mais un sale boulot, c’est ce que Benyamin