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Libération
A grands traits

La semaine de Coco : moins de SUV, moins de sexe, plus de ministres

L’actualité vue par notre dessinatrice.
par Coco
publié le 10 février 2024 à 12h41

Lundi 5 février

Dans le XVIe arrondissement de Paris, vent de révolte contre Anne Hidalgo et sa «mesure anti-riches»

Dans ce très chic quartier de la capitale, des habitants exaspérés se sont déplacés en masse pour voter contre le projet de la mairie de tripler les tarifs de stationnement des véhicules lourds et polluants, et protester contre la politique de l’édile socialiste. Notre reportage, alors que les votants ont soutenu la proposition de l’hôtel de Ville.


Mardi 6 février

L’aile droite de la macronie aimerait bien ne pas être «oubliée» avec la fin du remaniement

Elle a beau recevoir les faveurs politiques et partisanes dans l’action gouvernementale depuis l’élection d’Emmanuel Macron, l’aile droite n’est pas rassasiée. Alors que le nouveau gouvernement se fait toujours attendre, certains députés macronistes espèrent un approfondissement du «dépassement», donc une droitisation supplémentaire du gouvernement. Lire notre article.


Mercredi 7 février

Sexualité des Français : une grosse baise de régime

Selon un sondage Ifop révélé par «Libération», les Français font de moins en moins l’amour, en particulier les 18-24 ans. Emancipation, abstinence par choix, asexualité, influence du porno, idées réacs, manque de rencontres… Un moindre appétit pour la chair aux causes multiples. Lire notre article.


Jeudi 8 février

Remaniement : la gifle de Bayrou

En annonçant, lui-même et bruyamment, qu’il n’entrera pas au gouvernement faute d’«accord profond sur la politique à suivre», le patron du Modem acte un divorce politique avec la ligne de Macron après sept ans d’exercice du pouvoir et vient souligner la droitisation du chef de l’Etat. Lire le billet.


Vendredi 9 février

Violences sexuelles : le cinéma des années 80 à l’ombre des jeunes filles en pleurs

La plainte de Judith Godrèche déposée mardi contre Benoît Jacquot et Jacques Doillon pour «viol sur mineur» met en lumière l’appétence malsaine des cinéastes des années 80 pour les jeunes filles. Une érotisation qui a broyé de nombreuses actrices. Lire notre enquête.