Vendredi 30 septembre
Sur France Inter, la philosophe a déclaré que la justice est méprisée dans les affaires de violences envers les femmes. C’est comme se faire «cracher à la gueule» pour une auditrice victime de viol dont la plainte a été, comme tant d’autres, classée sans suite.
Jeudi 29 septembre
Il a suffi de la mort d’une femme pour que les Iraniennes décident que c’en était assez et qu’à leur tour elles se lèvent contre l’oppresseur pour clamer haut et fort «Zan, zendegi, azadi» («Femme, vie, liberté»). Un courage dont on se doit d’être à la hauteur.
Mercredi 28 septembre
L’ex-préfet de police Didier Lallement se reconvertit
Didier Lallement a quitté son poste en juillet après trois ans d’une gestion «agressive et violente» à la préfecture de police de Paris. Nommé en 2019 pendant le mouvement des gilets jaunes, le haut fonctionnaire a joué le rôle de paratonnerre du pouvoir politique, obsédé par l’ordre mais peu intéressé par les enjeux de sécurité publique.
Mardi 27 septembre
En tête des élections du dimanche 25 septembre, la coalition d’extrême droite et de droite formera le prochain gouvernement. C’est Giorgia Meloni, dirigeante de Fratelli d’Italia, qui a écrasé ses alliés, qui devrait en prendre la tête et signer une victoire supplémentaire pour l’extrême droite européenne.
Vendredi 23 septembre
Pendant que la conscription à marche forcée se poursuit en Russie, la mobilisation contre l’autre grande menace de l’époque, le réchauffement climatique, s’annonce d’autant plus suivie qu’elle fait suite à un été infernal, entre incendies et multiples vagues de chaleur.
Jeudi 22 septembre
Face à la contre-offensive de Kyiv, les «républiques populaires» de Donetsk, de Louhansk, de Kherson et les autorités de Zaporijia, régions en partie occupées, réclament l’organisation d’un référendum «immédiat» pour un rattachement à la Russie. L’entourage de Vladimir Poutine y voit un moyen de changer la dynamique du conflit.
Mercredi 21 septembre
Au Kurdistan et dans les grandes villes, les Iraniens descendent dans la rue pour dénoncer la mort de la jeune femme. Si des voix dissonantes se font même entendre au sein du régime, la police continue de répondre aux rassemblements par la violence.