Deux messages privés reçus la semaine dernière, semaine horribilis du patriarcat de gauche. Un texto, envoyé nuitamment (par une femme) : «Tu penses qu’il y aura des journalistes qui vont enquêter et montrer qu’il n’y a rien contre Julien (Bayou) ? Quand il y a rien, comment prouver qu’il y a rien ?» Le lendemain, tombe un message privé sur Twitter (par un homme) : «Ce qui arrive à Adrien Quatennens me semble tout à fait injuste. Une gifle dans le cadre d’une dispute verbale très violente, ça n’a rien à voir avec une relation d’emprise faite de manipulations violentes.» Coup sur coup deux messages sincères, provenant de personnes que je sais probes et dévouées à la cause. Les deux expéditeurs se déploient par ailleurs tous les deux sur les réseaux sociaux. Leur auditoire est conséquent. Ils auraient pu exprimer en public leur soutien à Julien Bayou et à Adrien Quatennens. Mais non. Inaudible. Indicible, autrement que chuchoté.
Envoyés par des connaissances, ces messages me touchent davantage que les éléments de langag