Nous sommes la génération politique dont notre histoire démocratique pourra retenir le pire ou le meilleur selon les choix que nous ferons dans les prochains mois. Soit nous serons complices passifs de l’arrivée au pouvoir de l’extrême droite, soit nous serons l’un des instruments du grand sursaut qui empêchera cette bascule tragique. Le pire n’est pas écrit. Un projet d’espoir, de rupture avec le libéralisme et l’autoritarisme, peut l’emporter. Si nous sommes résolus à tourner la page du macronisme et faire advenir une nouvelle majorité populaire, sociale, écologique et républicaine.
Ce projet ne peut être tiède. Il doit assumer la radicalité des réponses à l’urgence sociale, écologique et démocratique. Il doit parler à celles et ceu