Avec Bruno Latour, le monde devenait un conte de fées, par Emanuele Coccia
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Pour l’être féerique qu’était le philosophe des sciences, l’espace d’un laboratoire scientifique était aussi enchanteur que la cave de l’apprenti sorcier. Avec lui, la distinction entre les choses et les gens, et celle entre l’humain et le non-humain, s’est estompée et a cessé de vraiment compter.