Victime de son succès, d’une diffusion incontrôlée, souvent mal copié, ce vin bio qui s’était construit il y a vingt ans sur le rejet des pesticides et des additifs s’est peu à peu banalisé. Il ne retrouvera du goût qu’en revenant à son engagement politique originel, alerte le critique Antonin Iommi-Amunategui.