Tandis que les salariés d’ArcelorMittal affrontent l’angoisse des licenciements et l’incertitude sur l’avenir de leurs sites, le groupe, deuxième producteur mondial d’acier, continue de défrayer la chronique. Les annonces récentes de suppressions de postes, les tergiversations autour des investissements de décarbonation à Dunkerque et la dépendance croissante aux aides publiques n’ont pas encore quitté le devant de l’actualité que, déjà, une nouvelle illustration de l’indécence du groupe revient secouer sa communication.
Son directeur général, Aditya Mittal, compte investir 1 milliard de dollars (877 millions d’euros) dans la franchise des