C’était dans la nuit du 5 au 6 février dernier, il y a un an jour pour jour. A 4 h 17, heure locale, un séisme de magnitude 7,8 frappait la Turquie et le nord-ouest de la Syrie, suivi d’une réplique d’une magnitude de 7,5 en milieu de journée.
Avec un bilan d’au moins 56 000 morts et 105 000 blessés, 23 millions de personnes touchées et plus de 173 000 bâtiments détruits, il s’agit de l’une des catastrophes naturelles les plus dévastatrices du XXIe siècle. En Syrie, 9 millions de personnes ont été affectées, dont 7,2 millions dans la zone nord-ouest.
Aussitôt, une vague de solidarité internationale s’organisait pour répondre à l’urgence humanitaire. On peut saluer la réponse qui a été apportée par les ONG en présence, ainsi que par les grands bailleurs de fonds internationaux dont le Centre de crise et de soutien (CDCS) pour la France.
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Le nord-ouest de la Syrie, particulièrement touché par le séisme et par bientôt treize ans d’un conflit d’une rare brutalité envers la population civile, a ainsi bénéficié temporairement d