Critique

Artavazd Pelechian, les tremblements de la Terre

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Quasi porté disparu depuis presque trente ans, le grand cinéaste expérimental arménien réapparaît avec un nouveau chef-d’œuvre, «la Nature», fruit de quinze années de travail. Un poème visuel sur la catastrophe écologique qu’il prophétise depuis ses premiers films.
publié le 23 octobre 2020 à 17h06

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