Voilà donc cent jours que Donald Trump a retrouvé la Maison Blanche en se prévalant d’un quasi blanc-seing : un mandat «historique», «puissant», «massif», «sans précédent», humblement reçu d’une coalition de forces tant populaires que divines. «La nation entière s’unit rapidement derrière notre programme» et «Dieu m’a sauvé pour que je rende sa grandeur à l’Amérique», proclamait-il ainsi lors de son discours de réinvestiture le 20 janvier, avant de promettre de s’atteler à ce qu’«une vague de changement déferle sur le pays» – et de tenir cette promesse-là au moins.
Cent jours
Aux Etats-Unis, du Trump à l’état pire
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Donald Trump à Rochester (New Hampshire), le 21 janvier. (Mike Segar/Reuters)
publié le 29 avril 2025 à 20h26
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