Après avoir confondu mi-juin le jubilé de l’armée américaine avec le sien, sur fond d’une coûteuse parade militaire programmée à Washington le jour de son anniversaire, Donald Trump se voyait bien faire du 4 juillet «sa» fête nationale. Et les réjouissances et commémorations patriotiques de 249 ans d’indépendance américaine serviront ainsi d’écrin à la signature par le Président du millier de pages de sa «grande et belle loi», comme il l’appelle, où se trouve ramassé l’essentiel des ambitions législatives de son second mandat. Un timing rêvé qu’il avait appelé de ses vœux, qu’aura exaucé in extremis le passage final, la veille, du texte au Congrès –
Défaite nationale
Donald Trump tient sa «grande et belle loi», dont pas grand monde ne voulait à part lui
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Le président Donald Trump, avec des membres de son gouvernement et des élus républicains, à leur arrivée à bord d'Air Force One, le 4 juillet, à la base conjointe Andrews, dans le Maryland. (Alex Brandon/AP)
publié le 4 juillet 2025 à 7h47
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