Aussitôt le procès Trump achevé à New York par la condamnation historique de l’ex-président, voilà au tour d’un procès Biden de débuter cette semaine. Mais si bon nombre d’élus républicains et de médias conservateurs voudraient établir entre l’un et l’autre une forme d’équivalence propice à toutes sortes d’amalgames et de relativisations, ce dernier n’a, lui, pas pour prévenu un (ancien) président des Etats-Unis et candidat à la Maison Blanche. Le Biden qui comparait depuis lundi comme accusé au tribunal fédéral de Wilmington (Delaware) n’est pas Joe, mais son fils Hunter, 54 ans, jugé pour trois chefs d’inculpations relatifs à l’acquisition et la détention illicite d’une arme à feu alors qu’il était toxicomane.
Après la sélection des jurés bouclée lundi, les débats vont débuter ce mardi 4 juin par les exposés initiaux des avocats et procureurs, et pourraient s’étirer sur une à deux semaines.
Plombé
L’affaire remonte à octobre&nb