Quand Donald Trump est chafouin, l’insulte n’est jamais très loin. Fin mai, après une énième attaque massive de la Russie contre l’Ukraine, le président américain accusait Vladimir Poutine d’être devenu «complètement fou». Rebelote cette semaine : devant son cabinet, réuni à la Maison Blanche, Trump a accusé mardi 8 juillet le maître du Kremlin de dire «beaucoup de conneries». «Il est tout le temps très gentil mais cela ne veut rien dire», a lancé le milliardaire, qui, après des mois à ménager Poutine dans l’espoir d’un accord de paix, laisse désormais éclater sa frustration.
Mais au-delà des mots, comment ce mécontentement pourrait-il se traduire ? Expe