Depuis la fin de son mandat de président des Etats-Unis et le retour au pouvoir de Donald Trump, début janvier, il a complètement disparu du débat public. Mais les accusations de son successeur semblent suffisamment graves pour que Joe Biden sorte de son silence, dans un entretien publié par le New York Times dimanche 13 juillet, et entièrement consacré à l’affaire dite de «l’autopen» montée contre lui par la droite américaine. En substance, Donald Trump et ses alliés reprochent à l’ancien chef d’Etat démocrate d’avoir utilisé un système de signature automatique (qui ne requiert pas sa présence physique) pour approuver un ensemble de grâces «préventives» et de réductions de peine accordées pendant les dernières semaines de sa présidence. Preuve, selon les conservateurs, d’un «complot» fomenté par l’entourage de l’octogénaire