C’est une petite musique que l’on commence à trop bien connaître : crier à la triche avant même que se tienne le scrutin. Toujours comparé à Donald Trump et Jair Bolsonaro, l’ultralibéral argentin Javier Milei n’a donc pas hésité à s’inspirer de ses camarades étasunien et brésilien. Le candidat d’extrême droite à la présidentielle, dont le second tour se tient ce dimanche 19 novembre, use et abuse en cette fin de campagne serrée face au péroniste Sergio Massa d’accusations infondées contre une supposée fraude électorale.
A l’écouter, elle aurait