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Présidentielle en Argentine : Javier Milei joue déjà la carte de la «fraude» électorale

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Avant le second tour de la présidentielle qui l’oppose au péroniste Sergio Massa ce dimanche 19 novembre, le candidat d’extrême droite accuse, sans preuves, le camp adverse de vol massif de bulletins.
Le candidat d'extrême droite Javier Mileil lors d'un meeting à Cordoba, le 16 novembre. (Matias Baglietto/REUTERS)
publié le 17 novembre 2023 à 18h44

C’est une petite musique que l’on commence à trop bien connaître : crier à la triche avant même que se tienne le scrutin. Toujours comparé à Donald Trump et Jair Bolsonaro, l’ultralibéral argentin Javier Milei n’a donc pas hésité à s’inspirer de ses camarades étasunien et brésilien. Le candidat d’extrême droite à la présidentielle, dont le second tour se tient ce dimanche 19 novembre, use et abuse en cette fin de campagne serrée face au péroniste Sergio Massa d’accusations infondées contre une supposée fraude électorale.

A l’écouter, elle aurait