Xénophobe, homophobe, misogyne… A en croire ses déclarations, Donald Trump, réélu mercredi 6 novembre à la tête des Etats-Unis, nourrit une hostilité envers toutes les personnes ne lui ressemblant pas. Lors d’un rassemblement dans le Wisconsin, le 30 octobre, le candidat républicain de 78 ans a tenté de faire oublier son passé afin de rallier les femmes à sa cause, conscient que l’écart de vote entre les sexes pourrait lui nuire lors du scrutin. Le milliardaire n’a toutefois pas pu s’empêcher de verser dans la misogynie, s’autoproclamant «protecteur» des femmes «que cela leur plaise ou non».
Cette énième sortie controversée est venue s’ajouter à une longue série de propos sexistes et dégradants tenus tout au long de sa carrière publique, que ce soit en tant qu’homme d’affaires, célébrité ou homme politique. Donald Trump a souvent qualifié les femmes influentes qui le critiquent de «dégoûtantes» ou estimé qu’elles agissent sous l’influence de leurs «hormones menstruelles». Quant à