Plus de quarante jours le séparent de son retour dans le Bureau ovale, mais Donald Trump semble déjà revenu au centre du jeu diplomatique. C’est en tout cas ce qu’il a voulu montrer avec sa venue à Paris samedi 7 décembre pour la cérémonie de réouverture de la cathédrale Notre-Dame, premier voyage à l’étranger depuis son élection, à laquelle il a assisté depuis la place d’honneur, assis entre Emmanuel et Brigitte Macron. Mais surtout un peu plus tôt par sa rencontre, organisée par le président français, avec son homologue ukrainien, Volodymyr Zelensky, à l’Elysée. Enfin, par ses analyses géopolitiques publiées ce week-end sur sa plateforme Truth Social, faisant le lien entre la chute du régime syrien et la guerre en Ukraine.
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Le président-élu a appelé dimanche à un «cessez-le-feu immédiat» et des «négociations» pour mettre fin au conflit en Ukraine, au cours duquel «trop de vies ont été perdues en vain, trop de familles ont été détruites». Trump a affirmé également que Volodymyr Zelensky «aimerait conclure un accord» pour y mettre un terme. Pendant sa campagne, il avait assuré à maintes reprises être capable de