En ouverture et en tête des priorités. La guerre en Ukraine sera abordée dès ce vendredi à Hiroshima où se tiendra le G7 jusqu’à dimanche. Après l’annonce, mardi, par le Royaume-Uni et les Pays-Bas, visant à «bâtir une coalition internationale pour fournir à l’Ukraine des capacités aériennes de combat […], en allant de la formation à la livraison d’avions F16», le G7 va tenter de trouver un point d’équilibre entre des partenaires occidentaux divisés sur cette question. A Berlin, mercredi, les ministres britannique et allemand de la Défense ont estimé qu’il revenait «à la Maison Blanche» de décider d’une éventuelle livraison de F16.
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Le sommet permettra de «s’accorder sur les mesures de soutien immédiates que nous prenons en concertation, au sein du G7 et avec l’ensemble de nos partenaires européens et d’autres qui participent au soutien de l’Ukraine et aux sanctions contre la Russie», assure l’Elysée. Qui entend rappeler, à Hiroshima, que «l’Ukraine n’est pas une crise régionale quelque part en Europe, mais que c’est véritablement une crise systémique, une crise d’intérêt global, et qui justifie que nous puissions utiliser les mêmes paramètres pour obtenir que la Russie mette fin à cette guerre».
«Pire des scénarios»
La «préoccu