Un rayon de soleil, pas un souffle de brise et le cadre bucolique du jardin de Downing Street avec ses buissons de roses savamment taillés. Keir Starmer ne laisse rien au hasard : l’endroit est celui où Boris Johnson et ses équipes avaient fait la fête en plein confinement. Celui, aussi, où David Cameron et son partenaire de coalition Nick Clegg s’étaient serré la main en 2010 avant de faire déferler sur le Royaume-Uni une vague d’austérité dont l’impact sur les services publics est encore en train de se révéler.
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Cette fois, il est inscrit «réparer les fondations» sur le pupitre, et non plus «stopper les bateaux», slogan de