Vladimir Poutine aurait-il été impressionné par le «Vladimir, STOP !» lancé par Donald Trump la semaine dernière, et le mécontentement visible du président américain qui a fini par se rendre compte que, peut-être, son homologue russe serait en train de le rouler dans la farine ? Rien n’est moins sûr. Il en faut plus pour émouvoir le chef du Kremlin qui, premièrement, n’agit jamais sous la pression ; et, deuxièmement, n’a de leçons à recevoir de personne quant à la façon dont il compte disposer de l’avenir de l’Ukraine.
Mais lundi matin, son porte-parole, Dmitri Peskov a déclaré, comme si de rien n’était, que «la volonté de la partie russe a déjà été affirmée à maintes reprises par le pré