Chaque matin, la rédaction de Libé sélectionne les actualités incontournables en France, dans le reste du monde et celles à suivre au cours de la journée.
Nouvelle journée d’actions et de grèves
Après celle du 18 septembre – et le 10 septembre de Bloquons tout –, l’intersyndicale appelle ce jeudi 2 octobre à une nouvelle journée de mobilisation. CFDT, CGT, FO, CFE-CGC, CFTC, Unsa, FSU et Solidaires cherchent à maintenir la pression sur le Premier ministre, Sébastien Lecornu, qui planche toujours sur son projet de budget 2026. Transports, blocages, rassemblements… Suivez cette journée de mobilisation en direct avec Libération.
La Flottille toujours en route vers Gaza
La Flottille pour Gaza a annoncé ce jeudi poursuivre sa route vers le territoire palestinien en guerre malgré l’interception mercredi soir de plusieurs de ses bateaux par la marine israélienne. Global Sumud a dénoncé «une attaque illégale contre des humanitaires non armés» et a assuré que «30 bateaux continuent leur route vers Gaza, et se trouvent à 46 milles nautiques (85 km)».
Ecole effondrée en Indonésie : plus aucun signe de vie parmi les 59 personnes disparues
Les équipes de secours ont redoublé d’efforts ce jeudi pour tenter d’extraire de derniers survivants parmi les 59 personnes encore ensevelies sous les décombres d’une école indonésienne qui s’est effondrée lundi. Mais d’après les plus récentes informations, celles-ci ne donneraient plus aucun signe de vie.
A suivre aujourd’hui
Gérard Depardieu à nouveau devant la justice
L’acteur déchu attaque ce jeudi devant le tribunal de Paris l’émission Complément d’enquête, qu’il accuse d’avoir réalisé un montage illicite et trompeur dans un reportage qui a accéléré sa chute, où il tient des propos graveleux et sexistes en Corée du Nord. France Télévisions conteste tout trucage.
Guerre en Ukraine : nouveau sommet européen au Danemark
Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, retrouve ce jeudi les dirigeants du continent européen à Copenhague, dont ceux de l’UE qui cherchent à ancrer dans la durée leur soutien à Kyiv. Hier, Emmanuel Macron a assuré que «rien n’[était] exclu» en termes de riposte, si un avion russe viole l’espace aérien européen.