Ce n’est clairement pas ce qu’attendait Volodymyr Zelensky : alors que l’ultimatum du président américain à son homologue russe prenait fin le 8 août, et après ses signes d’impatience à l’égard de Vladimir Poutine, à Kyiv, on espérait que Washington applique ensuite de sévères sanctions pour porter un coup dur à l’économie russe.
Le choc est d’autant plus brutal. La visite à Moscou de l’envoyé spécial de Trump, Steve Witkoff, puis l’annonce d’une